D’un auteur à l’autre, on observe des différences dans la façon de noter les coups féeriques. On sera donc toujours soucieux d’être le plus clair possible.
Comme les pièces classiques, les pièces féeriques sont représentées par des lettres capitales. On peut utiliser l’initiale du nom de la pièce. Pour éviter des ambiguïtés, on peut utiliser les deux premières lettres du nom, on préfèrera alors utiliser des capitales pour éviter des confusions avec les lettres désignant les cases.
Dabbaba : DA (« D » est réservé à la Dame, et « Da » utiliserait un « a » minuscule que l’on préfère réserver aux cases de la première colonne de l’échiquier). DAa1 : Dabbaba joue en a1.
Les conditions féeriques imposent souvent d’écrire des coups complexes : les modifications de la position s’ajoutant au déplacement principal d’une pièce sont généralement notées entre parenthèses après ce déplacement.
Échecs de Circé : Si une Dame blanche capture en c4 un Fou noir qui réapparaît alors en c8, ce coup de capture avec renaissance s’écrira 1. Dxc4 (Fc8).
Échecs Sentinelles : Si un Roi joue de d3 à e4, ce coup avec apparition de Pion en d3 s’écrira 1. Re4 (+Pd3).