La répartition des coups est modifiée. À l’exception du premier, les coups sont des coups multiples.
On garde l’alternance classique du trait, les Blancs jouant le premier coup de la partie. Le nombre de coups simples orthodoxes constituant les coups multiples est variable : on joue un « coup » de plus que l’adversaire au coup précédent. Le premier coup est constitué d’un seul coup simple joué par les Blancs. Les Noirs répondent par un coup multiple constitué de deux coups simples, puis les Blancs jouent trois coups simples, les Noirs quatre et ainsi de suite.
On numérote les « tours » et non les coups complets. « B » désigne un coup blanc quelconque, « N » un coup noir :
1. B 2. N N 3. B B B 4. N N N N...
C’est le premier coup de la solution qui est constitué d’un seul coup simple. Le coup suivant sera constitué de deux coups simples et ainsi de suite.