La Pyramide occupe une case entière, est imprenable, ne peut ni se déplacer ni donner échec.
Plus enclins à inventer des pièces que d’autres objets, les féeristes ont donné le nom de pièce à cette entité dénuée de toute faculté de mouvement, pouvant éventuellement servir de sautoir, et, dans certaines constructions difficiles, obstruer une case.
On la mentionne ici dans le chapitre « relief » où l’on pourrait l’appeler « Montagne ».